L’Art de Jouir: un jeu à deux pour les amants

L'espace Du Couple

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Entretenir la flamme ou mettre le feu

Mettre des mots doux, mettre des mots vrais

Pour des amants qui restent vivants

Pour des amants qui restent vibrants.

Vous vous êtes ouverts à honorer le beau, le bon, le bien l’un de l’autre avec l’« Art de Chérir »

Et c’est fondamental.

Se dire le positif nourrit l’âme autant que la relation et j’aime ce jeu qui cultive une parole embellissant la vie, à utiliser quelques minutes de temps en temps pour tisser du lien dans l’Espace Entre nous …

Maintenant voilà l' »Art de Jouir ». Pour trouver de la liberté et de la sécurité à se parler de sexe.

Parce que vous avez tellement de choses à vous dire pour aimer encore plus vos rencontres sexuelles, pour fluidifier le désir entre vous, pour exprimer le ténu de vos sensations et de vos envies…

Éros ne nous a pas été enseigné, et même il nous a été parfois interdit et nos mots sur la rencontre de nos corps parfois ne trouvent pas leur voix…

Alors doucement, tendrement, l’Art de Jouir veut la libérer.

Pour rester ensemble vibrants, vivants dans notre dimension sexuelle.

Comment y jouer?

Prenez-le temps de temps en temps, tirez une carte et laissez monter une réponse.

Vous pouvez vous assoir l’un en face de l’autre et l’un des deux va partager sa réponse, continuer la phrase.

Celui qui écoute reçoit et ne dit rien, il reste en présence de ce qu’il entends et laisse les mots et les sensations entrer.

Quand le flow descend le récepteur (écoutant) peut inviter « y-a-t-il autre chose à ce sujet? »

Quand il a tout entendu si il en a envie il peut faire le « miroir » c’est à dire il va refléter la réponse à la carte:

« je t’entends me dire que ….. est-bien cela? »

sans ajouter quoi que ce soit qui viendrait de son monde

(comme de la surprise, ou un jugement,  de la honte, de l’excitation, des justifications …).

Ce qui est précieux pour ouvrir la parole à se révéler l’un à l’autre c’est de faire l’expérience d’être accueilli tel quel.

Et nous avons du chemin à faire pour nous aider l’un l’autre à naître à notre être sexuel profond (qui souvent ne se vit pas pleinement).

Puis vous changez de rôle, soit avec la même carte, soit chacun tire sa carte…

 

Pour déployer la liberté de donner et recevoir l’amour avec tout votre corps !

 

Je vous souhaite de jolis moments de partage et une sexualité  vibrante.

 

Pour le commander c’est ici.

Florentine d’Aulnois Wang

(croquis par Oriane Molinié)

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Des solutions pour les couples

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… et s’offrent l’instant parfait unique absolu de l’Amour …

« Mon amour
Il y a une source de soleil, ruisselante, qui éclaboussera votre corps de lumière.
L’étoffe lourde et soyeuse de ses rayons ardents qui enrobera votre éblouissante nudité.
Il y aura vos regards humides, troubles comme l’étang, étincelants de clarté noire
votre chevelure affolée de lueurs, votre chevelure comme l’olivier en flammes
votre bouche écarlate, affamée, entrouverte sur la morsure à fleur de dents
et ce sourire obsédant d’enfant tourmenté
cette brûlure fulgurante du plaisir, qui vous déchire la peau et vous dévore les membres…
Je serai là
vous irez vers moi avec votre mal d’infini, votre soif inaltérable
vous viendrez à moi, immobile, le corps vigoureux soclé à la terre
plante vorace, sauvage, avec cette plaie vivante entre les cuisses, à feu et à sang d’amour
Il faut que je sois calme, que je sois un courant d’eaux profondes, que je sois l’océan quand il retient ses vagues…
Alors, seulement, je saurai vous aimer
Il y aura une pluie de larges gouttes attiédies qui enlacera votre corps en feu, vous écarterez les membres pour vous offrir tout entière à la jouissance de son tendre ruissellement
Au contact de votre peau, cette pluie s’échauffe, se fait brûlante, alors
je serai un aigle foudroyé par l’orage
je tombe à vos genoux
les ailes de mes mains encerclent vos hanches
mes lèvres effleurent vos pieds nus adorables, tissent un voile de frissons tout au long de vos jambes, puis asséchées de désir, se précipitent avec volupté sur le divin calice que votre féminité leur tend
Je sens ton corps s’anéantir sous la caresse trop aigüe de ma langue
mes paumes recréent la coupole de ton ventre offert, s’élèvent avec une lenteur infinie vers celles de tes seins
qu’elles façonnent longuement, amoureusement
jusqu’à les rendre à ma bouche aussi durs et fragiles que des éclats de verre
Tu frissonnes
mes doigts s’enfoncent dans la chair douce de tes épaules et font jaillir le sang du grain de ta peau
dans un élan de tout l’être
mon corps se dresse contre le tien
mes lèvres, de leurs baisers, capturent vos lèvres, vos yeux, votre museau, vos oreilles délicates
Le désir vous enflamme les joues
tu renverses la tête et offres à mes sauvages morsures, la naissance de ton cou
Je vous sens défaillir, mes dents déchirent votre nuque
la chaleur soyeuse de votre chair me pénètre
Oh ! ma fièvre amoureuse
mon bel amour fou
la violence de notre passion nous entraîne, nous attire vers un néant infernal et radieux
Tu te laisses glisser contre moi et vos lèvres chaudes me découvrent, me transportent au-delà de toute conscience
comme tu m’aimes !
Notre chute s’accélère, nos corps se confondent
je possède tout ce que vous possédez de moi
Nous plongeons dans le vide, toujours, de plus en plus vite.
Mes mains s’arrachent à vos épaules, glissent avec force jusqu’à vos reins et
dans un mouvement de houle puissant, brutal
enserrent votre taille
Votre corps entier se raidit, prêt à se déchirer, puis s’ouvre, s’abandonne aux vagues déferlantes du plaisir
Le temps s’arrête
Le soleil fou, irradiant de l’Amour, nous précipite à une vitesse vertigineuse dans la spirale éblouissante de la jouissance
Puis
un silence énorme.
Par la voie de nos regards, nos âmes se reconnaissent
s’ouvrent totalement, sans conditions
l’une à l’autre
Alors
le visage éclairé d’un sourire inhumain de bonheur
lentement
aussi lentement qu’une marée
nos deux êtres se fondent en un seul
et s’offrent l’instant parfait
unique
absolu de l’AMOUR
Je t’AIME »
1er novembre 1961
Jacques Higelin

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Le corps est semblable à la terre …

« Le corps est semblable à la Terre…
..Il est un territoire en soi. Comme tout un paysage, il court le risque d’être envahi de constructions, découpé en parcelles et ruiné de mille manières. Pour la femme sauvage, la forme importe peu.
Quelque soit sa forme, un sein est fait pour nourrir et ressentir. S’il fait l’un et l’autre, c’est un bon sein.
Quant aux hanches, il y a une raison pour qu’elles soient larges : elles renferment un berceau soyeux pour une une nouvelle vie. Elles sont un portail, des poignées d’amour, un coussin moelleux, un abri pour les enfants à naître. Les jambes sont faites pour nous porter, quelquefois pour nous propulser; elles sont les poulies qui nous aident à nous soulever, l’anneau, l’anillo dans lequel nous encerclons notre amant.
On peut dire du corps qu’il est sensé être comme ci ou comme ça. Ce qui compte, c’est de savoir si ce corps éprouve du bonheur, de la joie, du plaisir, s’il est bien en contact direct avec le cœur, avec l’âme, avec le sauvage. S’il bouge et danse à sa façon. C’est cela et rien d’autre. »
Clarissa Pinkola Estes,  in Femmes qui courent avec les loups
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Comment habites-tu ton corps?

« Le corps est cette oeuvre d’un grand luthier qui aspire à la caresse de l’archet » nous dit Hildegarde Von Bingen .
Tout ce qui vit aspire à la caresse du Créateur . Séparé de la résonance à laquelle aspire ce corps, séparé de la musique pour laquelle il a été créé, il perd sa tension, il s’affaisse, il se laisse aller, il se désespère.
Nous vivons à une époque où rien ne nous dit la merveille de l’ordonnance du corps ; on croit vraiment que se laisser aller est une manière de se sentir mieux, personne ne nous signale : attention, ton chevalet est déplacé, ta corde est distendue, le maître ne peut pas jouer sur toi.
Ces corps inhabités de tant d’entre nous aujourd’hui, qui, à défaut d’entrer dans la résonance pour laquelle ils étaient créés, vont se rouiller, se déglinguer, perdre le souvenir de ce qu’ils sont.
Pourtant, nous le savons tous, la mémoire du corps est la plus profonde… »

 Christiane Singer

 

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Le câlin comme voix du coeur, le câlin comme voie du coeur

calin

L’homme a besoin d’être un centre d’attention. C’est l’un des besoins les plus fondamentaux des êtres humains. Si on ne prend pas soin de lui, l’être humain meurt. S’il ne sent pas qu’il est important pour quelqu’un, au moins pour quelqu’un, toute sa vie devient insignifiante.

Aussi, l’amour est la plus grande thérapie qui soit. Le monde a besoin de thérapie parce que le monde manque d’amour. Dans un monde vraiment vivant d’amour, aucune thérapie ne serait nécessaire, l’amour serait suffisant, plus que suffisant.

Le câlin est simplement un geste d’amour, de chaleur, d’affection. La sensation de chaleur qui se déverse de l’autre personne fait dissoudre de nombreuses maladies en vous, fait fondre l’ego froid comme de la glace. Cela vous fait retrouver l’enfance.
De nos jours, les psychologues sont bien conscients du fait que si un enfant n’est pas étreint, embrassé, il va manquer d’une certaine nourriture. Tout comme le corps a besoin d’aliments, l’âme a besoin d’amour. Vous pouvez satisfaire à tous les besoins matériels de l’enfant, lui donner tous le confort matériel, si les câlins manquent, l’enfant ne deviendra pas un être en pleine santé. Au fond de lui, il restera triste, ignoré, négligé, abandonné. Il aura reçu de bons soins, mais il n’aura pas été materné.
Il a été observé que si un enfant ne reçoit pas de câlins, il commence à se replier sur lui-même — il peut même en mourir — bien que tout le reste soit à sa disposition. Sur le plan corporel, il reçoit tous les soins, mais aucun amour n’entoure l’enfant. Il devient esseulé, il devient déconnecté de l’existence.
L’amour est notre connexion, l’amour est notre racine. Tout comme vous respirez — pour le corps, c’est absolument essentiel : arrêter de respirer et vous n’existez plus — de la même manière, l’amour est le souffle intérieur. L’âme vit par l’amour.
L’analyse n’y parviendra pas. L’esprit et la clarification, la connaissance et l’érudition n’y parviendront pas. Vous pouvez savoir tout ce qu’il faut savoir sur la thérapie, vous pouvez devenir un expert, si vous ne connaissez pas l’art d’aimer, vous restez uniquement à la surface du miracle de la thérapie.
(…) Le câlin est un simple geste d’unité — même le geste apporte une aide. Si ce geste est vrai — pas seulement un geste, mais votre cœur y est aussi présent — il peut être un outil magique, il peut faire des miracles. Il peut transformer une situation dans son ensemble, instantanément… Le câlin est tout simplement l’une des choses les plus importantes.
(…) Quand vous aimez une personne, la seule verbalisation n’est pas suffisante, les mots ne suffisent pas, quelque chose de plus substantiel est nécessaire, les mots ne sont qu’abstraits. Vous devez faire quelque chose. Tenez la main, étreignez la personne, embrassez-la, prenez-la dans vos bras. Cela vous aidera tous les deux — si vous pouvez vous fondre tous les deux dans l’embrassade, vous allez redevenir plus jeunes, plus frais, plus vivants. C’est tout le processus de la guérison.
L’analyse est la voie du mental, le câlin est la voie du cœur. Le mental est la cause de toutes les maladies et le cœur est la source de toute guérison.
– OSHO –
in L’ Âme du Monde

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